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Présentation de l'ouvrage :
Sortie du rapport "Exilé.e.s : quels accueils face à la crise des politiques publiques ?"
« CERTAINS JOURS, JE NE SAVAIS PAS OÙ DORMIR »
Plus de 65,3 millions de personnes dans le monde vivent aujourd’hui loin de leur terre natale, dont elles ont été contraintes de s’exiler en raison des conflits armés, des violations des droits humains, de l’absence de perspectives d’avenir. Pour la plupart de ces personnes, tout est à reconstruire, or leurs conditions d’arrivée et de vie sont entravées par des politiques migratoires majoritairement guidées par une approche sécuritaire. Les citoyens, en particulier depuis 2015, sont nombreux à s’engager auprès d’elles sous diverses formes : aides d’urgence, soutien juridique dans l’accès aux droits, actions de plaidoyer collectives...
Pour ces acteurs et actrices mobilisé·e·s en faveur du respect des droits fondamentaux des personnes qui demandent l’asile, le rapport à l’État est un enjeu majeur. A travers ce rapport, la Coordination française du droit d’asile (composée d’une vingtaine d’associations engagées dans l’accueil et la défense de ces personnes) propose à l’ensemble des acteurs de questionner et de mettre en contexte leurs pratiques, et de s’interroger sur les objectifs et les impacts de leurs actions – à moyen et long terme – sur la situation des personnes exilées.
Les étapes clefs de l’arrivée et de l’intégration des personnes exilées sont abordées : l’accès au territoire européen, à l’hébergement et au logement, et enfin à l’ensemble des droits indispensables à leur intégration (apprentissage du français, emploi, santé, etc.).
A chacune de ces étapes, ce rapport soulève un certain nombre de questions : quels sont les besoins des personnes concernées ? Quelle est la réponse publique apportée ? Quelles sont les logiques sous-jacentes et les carences des dispositifs mis en place ? Quelles actions la société civile mène-t-elle dans ce contexte et quelles sont les dynamiques existantes entre ces dernières et l’État ? ... Finalement, la question qui sous-tend toutes les autres est la suivante : vers quoi va-t-on en matière d’accueil et d’intégration de ces personnes dont l’avenir dépend de nous tous ?
Télécharger le rapport ici : CFDA, « CERTAINS JOURS, JE NE SAVAIS PAS OÙ DORMIR » / Exilé.e.s : quels accueils face à la crise des politiques publiques ?
Sortie du rapport "Exilé.e.s : quels accueils face à la crise des politiques publiques ?"
« CERTAINS JOURS, JE NE SAVAIS PAS OÙ DORMIR »
Plus de 65,3 millions de personnes dans le monde vivent aujourd’hui loin de leur terre natale, dont elles ont été contraintes de s’exiler en raison des conflits armés, des violations des droits humains, de l’absence de perspectives d’avenir. Pour la plupart de ces personnes, tout est à reconstruire, or leurs conditions d’arrivée et de vie sont entravées par des politiques migratoires majoritairement guidées par une approche sécuritaire. Les citoyens, en particulier depuis 2015, sont nombreux à s’engager auprès d’elles sous diverses formes : aides d’urgence, soutien juridique dans l’accès aux droits, actions de plaidoyer collectives...
Pour ces acteurs et actrices mobilisé·e·s en faveur du respect des droits fondamentaux des personnes qui demandent l’asile, le rapport à l’État est un enjeu majeur. A travers ce rapport, la Coordination française du droit d’asile (composée d’une vingtaine d’associations engagées dans l’accueil et la défense de ces personnes) propose à l’ensemble des acteurs de questionner et de mettre en contexte leurs pratiques, et de s’interroger sur les objectifs et les impacts de leurs actions – à moyen et long terme – sur la situation des personnes exilées.
Les étapes clefs de l’arrivée et de l’intégration des personnes exilées sont abordées : l’accès au territoire européen, à l’hébergement et au logement, et enfin à l’ensemble des droits indispensables à leur intégration (apprentissage du français, emploi, santé, etc.).
A chacune de ces étapes, ce rapport soulève un certain nombre de questions : quels sont les besoins des personnes concernées ? Quelle est la réponse publique apportée ? Quelles sont les logiques sous-jacentes et les carences des dispositifs mis en place ? Quelles actions la société civile mène-t-elle dans ce contexte et quelles sont les dynamiques existantes entre ces dernières et l’État ? ... Finalement, la question qui sous-tend toutes les autres est la suivante : vers quoi va-t-on en matière d’accueil et d’intégration de ces personnes dont l’avenir dépend de nous tous ?
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