Impact de la crise sanitaire sur les pratiques professionnelles des assistants de service social

Rédigé le Jeudi 18 Juin 2020 à 09:37 | Lu 268 fois | 0 commentaire(s) modifié le Jeudi 8 Octobre 2020


Il y a quelques semaines, la Section PICARDIE a été interpellée par une collègue qui s'interrogeait sur les questionnements insistants de son employeur quant à son état de santé.

A ce sujet, la CNIL a fait un rappel majeur qui confirme le maintien d'un certain nombre de règles malgré la promulgation de l’état d’urgence. 
(https://www.cnil.fr/fr/coronavirus-covid-19-les-rappels-de-la-cnil-sur-la-collecte-de-donnees-personnelles-par-les#tests-s%C3%A9rologiques)

La collecte de données de santé reste strictement encadrée par la législation.

A la lecture, il est difficile de ne pas faire un parallèle avec les personnes que nous accompagnons. En Avril 2017, le HCTS écrivait : « Le respect de la confidentialité s'inscrit au cœur du travail social. Il correspond au droit au respect de la vie privée et garantit la confiance indispensable entre la personne et l'intervenant ».
(https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/caractere_perso_personnes_accompagnees_proteger-partager.pdf)

Cette crise sanitaire génère des inquiétudes tant sur le plan personnel que professionnel. Comme souvent dans ce genre de situation, il est bienvenu de déclencher une veille sociale plus approfondie.
Ce Vendredi, la Section PICARDIE organise un débat numérique sur l'impact de la crise sanitaire sur nos pratiques professionnelles ».

Si vous avez oublié de vous inscrire, ne tardez plus à nous envoyer un mail : section.picardie@anas.fr



Jeudi 18 Juin 2020