Avril 2018
Par Arnaud Frauenfelder Stéphane Rullac Jean-Pierre Tabin
À l’échelle mondiale, le doctorat est souvent signe d’une compétence scientifique reconnue, mais aussi d’une expertise professionnelle dont le docteur incarne le plus haut niveau de la « profession ».
Les usages sociaux (académiques et professionnels) des titres doctoraux varient selon les contextes nationaux, les champs disciplinaires et leur inscription dans la société. En France, par exemple, le travail social ne fait pas l’objet d’une discipline, son enseignement étant principalement dispensé en dehors des universités ou des grandes écoles. En Europe, les transformations des dispositifs institutionnels de formation des métiers du travail social et des niveaux de titre qu’elles décernent dans le processus LMD (licence, master, doctorat), sont des laboratoires d’études particulièrement féconds pour saisir les enjeux qui sont en train de se façonner sous nos yeux.
En réunissant des contributions venues de sept pays (Belgique, France, Italie, Liban, Portugal, Royaume-Uni et Suisse), cet ouvrage propose une approche scientifique plurielle concernant l’émergence et la réception du doctorat en travail social dans ces pays et entend interroger les « défis » liés à sa création afin d’en cerner les obstacles et les limites.
Ce livre s’adresse aux étudiants en travail social, enseignants, chercheurs et formateurs ainsi qu’à tout professionnel qui œuvre dans le domaine du social et du médico-social.
Ont également collaboré à cet ouvrage: P. Álvarès-Pérez, M. I. Amaro, C. Bolzman, A. Campanini, A. Carotenuto-Garot, J. Coquoz, L. Dominelli, L. Farcy-Callon, J. M. L. Ferreira, L. Gibey, T. Glarner, M. Hély, M. Jaeger, M. João Pena, E. Jovelin, W. Liman, G.-N. Pasquet, M. Tannous Jomaa et N. Zeghmar.
Plus d'informations sur le site des Presses de l'EHESP
Par Arnaud Frauenfelder Stéphane Rullac Jean-Pierre Tabin
À l’échelle mondiale, le doctorat est souvent signe d’une compétence scientifique reconnue, mais aussi d’une expertise professionnelle dont le docteur incarne le plus haut niveau de la « profession ».
Les usages sociaux (académiques et professionnels) des titres doctoraux varient selon les contextes nationaux, les champs disciplinaires et leur inscription dans la société. En France, par exemple, le travail social ne fait pas l’objet d’une discipline, son enseignement étant principalement dispensé en dehors des universités ou des grandes écoles. En Europe, les transformations des dispositifs institutionnels de formation des métiers du travail social et des niveaux de titre qu’elles décernent dans le processus LMD (licence, master, doctorat), sont des laboratoires d’études particulièrement féconds pour saisir les enjeux qui sont en train de se façonner sous nos yeux.
En réunissant des contributions venues de sept pays (Belgique, France, Italie, Liban, Portugal, Royaume-Uni et Suisse), cet ouvrage propose une approche scientifique plurielle concernant l’émergence et la réception du doctorat en travail social dans ces pays et entend interroger les « défis » liés à sa création afin d’en cerner les obstacles et les limites.
Ce livre s’adresse aux étudiants en travail social, enseignants, chercheurs et formateurs ainsi qu’à tout professionnel qui œuvre dans le domaine du social et du médico-social.
Ont également collaboré à cet ouvrage: P. Álvarès-Pérez, M. I. Amaro, C. Bolzman, A. Campanini, A. Carotenuto-Garot, J. Coquoz, L. Dominelli, L. Farcy-Callon, J. M. L. Ferreira, L. Gibey, T. Glarner, M. Hély, M. Jaeger, M. João Pena, E. Jovelin, W. Liman, G.-N. Pasquet, M. Tannous Jomaa et N. Zeghmar.
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