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Au mois de juin 2018, la Commission Protection de l’Enfance s’est adressée aux adhérents de l’association au moyen d'un questionnaire. Il s’agissait de recueillir des informations afin de commencer un état des lieux des préoccupations et des atouts des assistant·e·s de service social dans le domaine de la protection de l’enfance.
Pour rappel, la Commission Protection de l’Enfance de l’ANAS s’est donnée pour objectifs de :
- Permettre et favoriser une représentation de notre profession lors des travaux relatifs à la protection de l’enfance dans lesquels l’ANAS est engagée (Conseil National de la Protection de l’Enfance, préparation du Pacte pour l’enfance…) ;
- Repérer et organiser les préoccupations du terrain.
Entre le 25 juin et le 16 juillet 2018, un tiers des adhérent·e·s de l’ANAS (appelés « ASS » dans ce document) ont répondu à 23 questions. Cette enquête, conçue à des fins exploratoires se veut en prise avec le réel-quotidien des pratiques professionnelles. Il s’agissait de demeurer au plus près des cadres de pensées et des outils à l’œuvre dans les services sociaux en matière de protection de l’enfance. Elle fournit des éléments pour appréhender des logiques de travail et d’action dans ce secteur. Revendiquant sa démarche inductive, elle prend volontairement ses distances avec la conceptualisation abstraite qui réduisent trop souvent les acteurs et actrices de terrain au silence.
La Commission Protection de l’Enfance
Pour rappel, la Commission Protection de l’Enfance de l’ANAS s’est donnée pour objectifs de :
- Permettre et favoriser une représentation de notre profession lors des travaux relatifs à la protection de l’enfance dans lesquels l’ANAS est engagée (Conseil National de la Protection de l’Enfance, préparation du Pacte pour l’enfance…) ;
- Repérer et organiser les préoccupations du terrain.
Entre le 25 juin et le 16 juillet 2018, un tiers des adhérent·e·s de l’ANAS (appelés « ASS » dans ce document) ont répondu à 23 questions. Cette enquête, conçue à des fins exploratoires se veut en prise avec le réel-quotidien des pratiques professionnelles. Il s’agissait de demeurer au plus près des cadres de pensées et des outils à l’œuvre dans les services sociaux en matière de protection de l’enfance. Elle fournit des éléments pour appréhender des logiques de travail et d’action dans ce secteur. Revendiquant sa démarche inductive, elle prend volontairement ses distances avec la conceptualisation abstraite qui réduisent trop souvent les acteurs et actrices de terrain au silence.
La Commission Protection de l’Enfance
