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Nous sommes opposés :
- aux aspects répressifs du contrat de responsabilité parentale avec notamment la suspension des prestations familiales et la pénalisation des parents.
- à un plan de prévention de la délinquance qui s'inscrit dans une logique de surveillance et de défiance à l'égard des familles en difficulté.
- à la place du maire directement impliqué dans les situations individuelles avec un partage de l'information imposé aux travailleurs sociaux.
- aux pratiques qui se développent sur le terrain et qui demandent aux travailleurs sociaux de déroger au secret professionnel et de transmettre des informations nominatives à des tiers sans que les familles en soient informées.
- à l'enfermement des mineurs dans les prisons et les centres éducatifs fermés.
Nous sommes pour :
- Un plan de prévention de la délinquance qui respecte pleinement les principes directeurs des Nations Unies pour la prévention de la délinquance juvénile (Principes directeurs de Riyad résolution 45/112 du 14 décembre 1990).
En matière de protection de l'enfance, nous sommes pour :
- Des moyens pour permettre aux travailleurs sociaux d'assumer pleinement leurs missions de protection, ce qui n'est pas toujours le cas aujourd'hui.
- Une évolution de la législation limitée à la question de la protection de l'enfance qui permette le partage d'informations entre professionnels travailleurs sociaux soumis au secret.
- Le droit pour les professionnels d'alerter les autorités sans sanction administrative en cas de dysfonctionnements des dispositifs de protection de l'enfance.
- Le renforcement du droit des usagers et des familles dans l'accès aux informations qui les concernent.
Nous appelons les professionnels à se mobiliser sur ces objectifs, dans le cadre de la journée d’action lancée par le Collectif National Unitaire pour le mercredi 22 mars 2006.
Le Bureau de l’ANAS
- aux aspects répressifs du contrat de responsabilité parentale avec notamment la suspension des prestations familiales et la pénalisation des parents.
- à un plan de prévention de la délinquance qui s'inscrit dans une logique de surveillance et de défiance à l'égard des familles en difficulté.
- à la place du maire directement impliqué dans les situations individuelles avec un partage de l'information imposé aux travailleurs sociaux.
- aux pratiques qui se développent sur le terrain et qui demandent aux travailleurs sociaux de déroger au secret professionnel et de transmettre des informations nominatives à des tiers sans que les familles en soient informées.
- à l'enfermement des mineurs dans les prisons et les centres éducatifs fermés.
Nous sommes pour :
- Un plan de prévention de la délinquance qui respecte pleinement les principes directeurs des Nations Unies pour la prévention de la délinquance juvénile (Principes directeurs de Riyad résolution 45/112 du 14 décembre 1990).
En matière de protection de l'enfance, nous sommes pour :
- Des moyens pour permettre aux travailleurs sociaux d'assumer pleinement leurs missions de protection, ce qui n'est pas toujours le cas aujourd'hui.
- Une évolution de la législation limitée à la question de la protection de l'enfance qui permette le partage d'informations entre professionnels travailleurs sociaux soumis au secret.
- Le droit pour les professionnels d'alerter les autorités sans sanction administrative en cas de dysfonctionnements des dispositifs de protection de l'enfance.
- Le renforcement du droit des usagers et des familles dans l'accès aux informations qui les concernent.
Nous appelons les professionnels à se mobiliser sur ces objectifs, dans le cadre de la journée d’action lancée par le Collectif National Unitaire pour le mercredi 22 mars 2006.
Le Bureau de l’ANAS