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Rendez-vous le jeudi 14 février à 20h30 àla Faculté de médecine de Nantes - Rue Gaston Veil (Tram Commerce ou Hôtel Dieu)
avec la participation de :
- Véronique Guienne, professeur de sociologie, auteur de L’injustice sociale. L’action publique en questions (Eres, 2006) ;
- Patrick Doutreligne, délégué général de la Fondation Abbé Pierre, ancien secrétaire général du Haut Comité au Logement pour les personnes défavorisées ;
Débat animé par Jean Danet, universitaire, animateur du groupe de travail national « justice » de la Ligue des droits de l’Homme.
On l'a vu en novembre 2005 au moment de la révolte dans les quartiers, des groupes sociaux sont stigmatisés. Au nom d’un choix de société où la "raison économique" et la concurrence l’emporteraient sur les droits de tous et de chacun, des populations sont désignées « à risques ». On en est arrivé à s'en prendre aux jeunes, à « faire la guerre » aux immigrés et aux pauvres au lieu de combattre la pauvreté.
Le rejet de l’« autre » et la surenchère sécuritaire montent en même temps que se développent l’insécurité sociale et la précarisation de la société. La désagrégation sociale contribue à la crise générale de la démocratie, au recul des libertés.
Nous refusons ce choix de société. Quelle est la situation sociale et économique réelle des habitants des quartiers ? Chômage, précarité, baisse du pouvoir d’achat, difficultés pour se loger, se soigner… Il nous faut dénoncer les causes qui entrainent de plus en plus de personnes vers la misère sous toutes ses formes.
La pauvreté n’est-elle pas à la source des pathologies dont souffre la société ?
Droit au travail et à un revenu décent, logement, éducation, santé, transports, retraite... Il est possible de changer les choses concrètement pour (re)construire une société du « vivre ensemble, libres, égaux et solidaires ».
Entrée libre et gratuite - Sur place, table des livres à disposition en collaboration avec la librairie Vent d’Ouest
Cette conférence-débat est soutenue par : AC!, association L'écoute de la rue, Le logis St Jean, Association Nationale des Assistants du service Social (ANAS), Association SAnté Migrants Loire Atlantique (ASAMLA), ATTAC, Cimade, Collectif du 30 novembre, Collectif enfants étrangers-citoyens solidaires, Collectif citoyen gens du voyage, Collectif solidarité Roms, Confédération Nationale du Logement (CNL), Confédération Syndicale des Familles (UD-CSF), GASProm-ASTI, Ligue des droits de l’Homme (LDH), Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP), Syndicat de la Médecine Générale (SMG), Syndicat des Avocats de France (SAF), Union Nationale des Etudiants de France (UNEF), Union Syndicale de la Psychiatrie (USP), Union syndicale Solidaires, Washma Solidarité-ATMF
avec la participation de :
- Véronique Guienne, professeur de sociologie, auteur de L’injustice sociale. L’action publique en questions (Eres, 2006) ;
- Patrick Doutreligne, délégué général de la Fondation Abbé Pierre, ancien secrétaire général du Haut Comité au Logement pour les personnes défavorisées ;
Débat animé par Jean Danet, universitaire, animateur du groupe de travail national « justice » de la Ligue des droits de l’Homme.
On l'a vu en novembre 2005 au moment de la révolte dans les quartiers, des groupes sociaux sont stigmatisés. Au nom d’un choix de société où la "raison économique" et la concurrence l’emporteraient sur les droits de tous et de chacun, des populations sont désignées « à risques ». On en est arrivé à s'en prendre aux jeunes, à « faire la guerre » aux immigrés et aux pauvres au lieu de combattre la pauvreté.
Le rejet de l’« autre » et la surenchère sécuritaire montent en même temps que se développent l’insécurité sociale et la précarisation de la société. La désagrégation sociale contribue à la crise générale de la démocratie, au recul des libertés.
Nous refusons ce choix de société. Quelle est la situation sociale et économique réelle des habitants des quartiers ? Chômage, précarité, baisse du pouvoir d’achat, difficultés pour se loger, se soigner… Il nous faut dénoncer les causes qui entrainent de plus en plus de personnes vers la misère sous toutes ses formes.
La pauvreté n’est-elle pas à la source des pathologies dont souffre la société ?
Droit au travail et à un revenu décent, logement, éducation, santé, transports, retraite... Il est possible de changer les choses concrètement pour (re)construire une société du « vivre ensemble, libres, égaux et solidaires ».
Entrée libre et gratuite - Sur place, table des livres à disposition en collaboration avec la librairie Vent d’Ouest
Cette conférence-débat est soutenue par : AC!, association L'écoute de la rue, Le logis St Jean, Association Nationale des Assistants du service Social (ANAS), Association SAnté Migrants Loire Atlantique (ASAMLA), ATTAC, Cimade, Collectif du 30 novembre, Collectif enfants étrangers-citoyens solidaires, Collectif citoyen gens du voyage, Collectif solidarité Roms, Confédération Nationale du Logement (CNL), Confédération Syndicale des Familles (UD-CSF), GASProm-ASTI, Ligue des droits de l’Homme (LDH), Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP), Syndicat de la Médecine Générale (SMG), Syndicat des Avocats de France (SAF), Union Nationale des Etudiants de France (UNEF), Union Syndicale de la Psychiatrie (USP), Union syndicale Solidaires, Washma Solidarité-ATMF